SOMMAIRE
- 1/ Votre ambition, le point de départ de votre aventure
- 2/ Votre niveau d’investissement reste un atout maître de votre attractivité
- 3/ La gourmandise n’est pas un vilain défaut… pour un franchiseur en boulangerie – pâtisserie
- 4/ A chaque moment, votre boulangerie doit pouvoir compter sur votre force de travail
- 5/ Si vous avez le sens de l’organisation, vous boosterez votre performance collective
- 6/ Avec une solide expérience du management, on dirige mieux une PME en boulangerie – pâtisserie de plusieurs millions d’Euros !
- 7/ Ne sous-estimez pas certaines valeurs pour installer la confiance avec votre franchiseur
- 8/ Un bon boulanger – pâtissier manie le sens du commerce et de la vente comme ses pâtons et ses ganaches !
- 9/ Si vous avez des capacités de gestionnaire, alors vous transformerez votre chiffre d’affaires en rentabilité
- 10/ La connaissance du commerce organisé et en réseau en poche, vous allez faire gagner un temps fou à tout le monde, surtout vous-même !
- Conclusion
Quelle franchise ne recherche pas des candidats avec de nombreuses qualités ? C’est légitime, surtout dans les métiers les plus exigeants comme la boulangerie-pâtisserie.
Après nul n’est parfait et dans les faits, les enseignes rencontrent rarement celui ou celle qui cochera toutes les cases de leur cahier des charges.
Vous avez ne serait-ce que quelques-unes des qualités qu’elles recherchent ? C’est déjà un bon début.
Vous savez les montrer, les mettre en valeur en face-à-face ? Vous aurez des chances de faire toute la différence auprès du franchiseur qui vous a tapé dans l’oeil.
Zoom sur ces qualités qui font craquer les concepts les plus en pointe du secteur.
Bonne lecture,
1/ Votre ambition, le point de départ de votre aventure
Ouvrir sa boulangerie – pâtisserie, ce n’est pas de la tarte 😉 Plus sérieusement, c’est l’un des métiers du commerce de proximité qui demande beaucoup : contraintes horaires, sacrifice de ses week-end parfois, intensité du travail, ampleur des investissements et des moyens à mettre en place… et qui donnent beaucoup : pérennité de l’offre, quasi-absence de BFR, forte valorisation à la revente, cash-flow généré,…
Rien de tout cela ne peut être supporté sans une ambition chevillée au corps. Vous devez être prêt à tout donner pour rentrer dans votre investissement, selon les termes de votre compte d’exploitation prévisionnel. Et ce même alors que vous avez choisi un secteur extrêmement concurrentiel.
Enfin, c’est cette même ambition qui vous permettra de tenir et de serrer les dents dans les moments difficiles. Parce qu’ils ne manqueront pas de survenir, à différents moments de votre vie contractuelle si vous êtes franchisé. Mais le tout, c’est que la demande d’ambition du franchiseur et celle que vous offrez coïncident !
2/ Votre niveau d’investissement reste un atout maître de votre attractivité
Les enseignes de boulangerie – pâtisserie demandent un niveau d’investissement financier conséquent. Si les concepts de dépôt de pain et de terminaux de cuisson sont plus accessibles, ceux proposant une activité artisanale et premium comme Boulangerie Feuillette requièrent une mise de fond importante.
Dans notre cas, comptez 200 K€ d’apport personnel pour un total investi d’1.2 million d’Euros. Soit l’un des montants les plus élevés du secteur…. mais pour un chiffre d’affaires conséquent : 2,5 millions d’Euros en année 3. Des scores loin du commun de la profession, et en réalité plus proches des critères rencontrés dans la restauration rapide Anglo-saxonne.
Une somme pour laquelle les fonds propres suffisent rarement : vous devrez demander des concours bancaires. Heureusement, une franchise sérieuse organise généralement les choses, et noue des accords-cadres avec quelques réseaux nationaux. Sachez que dans le cas de Feuillette, toutes les dispositions en la matière ont été prises.
Vous avez la capacité d’investissement requise par notre concept ou n’en êtes pas loin ? Contactez-nous !
3/ La gourmandise n’est pas un vilain défaut… pour un franchiseur en boulangerie – pâtisserie
Chez Feuillette, nous sommes convaincus qu’un franchisé ne peut pas réussir s’il n’aime pas les bons ingrédients et les recettes savoureuses. Il doit aimer les métiers de bouche, être curieux à leur égard, se renseigner sur les tendances, simplement parce qu’il aime ça.
Logiquement, votre franchiseur voudra s’assurer que vous-mêmes et vos collaborateurs avez autant de plaisir à déguster les spécialités maison que la clientèle. Cela ne vous dispense pas d’avoir un avis objectif, mais un gourmand est d’autant plus convaincant que sa passion est communicative. Jetez donc un œil sur notre carte.
Enfin, inutile de vous préciser qu’un candidat à un enseigne, qui ne serait jamais au préalable déplacé dans l’une de ses unités pour découvrir le concept et consommer quelques-uns de ses produits, sera moins pris au sérieux… En ce qui nous concerne c’est un deal breaker 😊
4/ A chaque moment, votre boulangerie doit pouvoir compter sur votre force de travail
Un boulanger – pâtissier est un gros bosseur. Il est difficile de tricher en la matière : quiconque se retrouve plongé dans le bain ne pourra le démentir. Et quand bien même votre modèle prévoit des équipes suffisamment étoffées pour permettre une spécialisation et une délégation, le dirigeant est le plus clair de son temps au four et au moulin !
Votre force de travail sera l’un de vos alliés le plus précieux : dès votre formation initiale, surtout en phase d’immersion où il vous faut vous impliquer autant si ce n’est plus qu’une fois installé, tant les informations à assimiler sont nombreuses. Puis en phase de lancement, où l’effet de nouveauté vous submerge et où vous votre moniteur vous débriefe en continu – si vous êtes accompagné par une franchise sérieuse.
Et cela se vérifie d’autant plus si vous exploitez un concept artisanal, et non simplement un dépôt de pain ou un terminal de cuisson. Si l’accompagnement au quotidien par une tête de réseau optimise vos chances de succès, il ne fera pas de miracles avec un dilettante… Découvrez en ce sens les témoignages de nos franchisés !
5/ Si vous avez le sens de l’organisation, vous boosterez votre performance collective
Tenir un point de vente et surtout, le faire réussite, implique d’exercer plusieurs métiers à la fois : approvisionnements, production dans les différentes spécialités (boulangerie, pâtisserie, viennoiserie, traiteur…), accueil, vente, gestion, management…
Il faut faire soi-même, contrôler, surveiller et articuler différents savoir-faire au bon moment pour que tout se coordonne comme par magie et que le client ne se rende compte de rien. Un vrai rôle d’horloger, en somme. Vous devez donc parfaitement connaître le rôle de chacun et être suffisamment organisé pour conduire mais aussi anticiper les choses.
Par ailleurs, vous devez être méticuleux, à l’image de notre fondateur Jean-François Feuillette. Il est réputé au sein du réseau pour son sens du détail, jusque dans la mise en place des pâtisseries dans nos présentoirs, à la réglette ! Parce que dans l’expérience client, rien n’est anodin et chaque aspect compte.
Retrouvez cette philosophie dans notre laboratoire centralisé de production.
6/ Avec une solide expérience du management, on dirige mieux une PME en boulangerie – pâtisserie de plusieurs millions d’Euros !
Si une boulangerie de proximité et isolée requiert un effectif réduit, ce n’est pas le cas des concepts en réseau. Certains d’entre eux, comme Boulangerie Feuillette, prévoient même un staff supérieur à 20 personnes ! Une vraie machine de guerre qui demande des aptitudes managériales.
Notre formation initiale et pratique vous donnera des clés pour vous en sortir. Mais l’idéal est encore que vous ayez déjà suffisamment pratiqué en environnement boutique, et auprès d’au moins 5 personnes de métiers variés. Vous devez avoir suffisamment conscience de votre leadership, y compris dans les moments de rush et en cas de difficulté, pour faire face, démontrer à vos équipiers que c’est vous le boss et que vous savez où vous les emmenez !
Vous devez aussi savoir repérer les talents et les amener à donner le meilleur d’eux-mêmes pour les faire grandir et les fidéliser : la filière est reconnue pour ses difficultés à recruter et à attirer notamment les jeunes vocations. Mais cela n’a jamais entamé les ambitions de notre enseigne en la matière.
7/ Ne sous-estimez pas certaines valeurs pour installer la confiance avec votre franchiseur
La relation au sein d’un réseau de franchise implique un savoir-vivre ensemble et une cohabitation raisonnée avec son franchiseur. Sans un certain nombre de valeurs personnelles, c’est plutôt compromis.
L’honnêteté et l’intégrité sont la base pour installer la confiance, ciment de la relation future. Cette qualité a normalement été testée dans les échanges précontractuels, mais une fois en situation on peut toujours avoir des surprises ! D’expérience, de nombreux franchisés ne se connaissent finalement pas tant que ça, et une fois en situation, ils se découvrent certains traits de caractère ou limites.
Ensuite, la transparence est indispensable. Certes, vous restez un professionnel indépendant, votre contrat prévoit des modalités de reporting de la part du franchisé, et votre tête de réseau dispose d’outils de remontée d’un nombre croissant de données. Mais sans un minimum de partage spontané de votre part, vous ne vous donnerez jamais la main avec votre franchiseur, et vous passerez à côté l’occasion de recevoir de nombreux conseils de l’enseigne et de votre animateur. Alors n’ayez pas peur !
Vous voulez découvrir nos valeurs et nos attentes de la relation ? Lire cette page
8/ Un bon boulanger – pâtissier manie le sens du commerce et de la vente comme ses pâtons et ses ganaches !
Être commerçant c’est l’un des pré-requis du métier. Un excellent technicien, concepteur et réalisateur de ses produits doit tout autant savoir en donner l’envie à sa clientèle. Il doit être suffisamment avenant et communicant pour amener les visiteurs de son établissement à essayer. Il doit aussi nourrir un dialogue avec eux et leur demander ce qu’ils ont pensé de leur dernier achat, sans jamais craindre leur retour, même s’il n’est pas flatteur.
La vente ce n’est pas qu’une aptitude à réaliser du chiffre d’affaires dans les meilleurs délais. Prenons un exemple : une cliente reçoit des convives et vous fait part de son inquiétude quant au choix du dessert. Vous devez vous enquérir de sa situation et lui poser les bonnes questions pour valider son besoin et lui faire les meilleures propositions. C’est à ce prix qu’elle reviendra et chantera vos louanges.
Chez Feuillette, nous pensons que la vente est la juste conséquence d’une écoute sincère, d’une relation authentique et d’un conseil avisé. Le reste (achats, ventes additionnelles) suit immanquablement. En témoigne le niveau moyen de chiffre d’affaires qu’affichent nos boulangeries !
9/ Si vous avez des capacités de gestionnaire, alors vous transformerez votre chiffre d’affaires en rentabilité
Une boulangerie-pâtisserie Feuillette génère un chiffre d’affaires annuel conséquent, de 2,5 millions € à presque 4 millions pour certaines… Une performance qui rime avec de solides capacités de gestion :
- Vous devez être rigoureux et discipliné vous-même, car vous êtes un chef d’entreprise !
- Vous avez intérêt à suivre les ratios référents de l’enseigne sur tous posts clés du modèle d’exploitation ;
- Vous gagnerez à vous appuyer sur votre animateur. Loin de se borner à contrôler votre application du concept, il est aussi votre allié dans l’atteinte de votre performance. Il a tout intérêt à ce que vous réussissiez, d’autant qu’il dispose de nombreux benchmarks internes ;
- Enfin et parce que vous n’êtes peut-être pas un gestionnaire de métier, vous devez savoir demander conseil à votre expert-comptable. Si tout dépend de la lettre de mission qui vous lie à lui, votre enseigne doit avoir négocié un partenariat avec des acteurs spécialisés dans les réseaux. C’est ce qu’a fait Boulangerie Feuillette avec le cabinet Fiducial, leader français du marché de l’expertise comptable.
Vous n’avez plus en tête les chiffres clés de notre concept ? C’est par ici !
10/ La connaissance du commerce organisé et en réseau en poche, vous allez faire gagner un temps fou à tout le monde, surtout vous-même !
Il faut bien commencer un jour, et l’on peut très bien réussir comme franchisé en venant d’un autre univers ou sans avoir déjà travaillé comme salarié dans une boutique sous enseigne. C’est même le principe !
Pourtant, connaître les spécificités de ce modèle est un sérieux atout. Parce que la franchise repose sur une relation d’interdépendance. Il faut apprendre à en apprécier les enjeux, les limites qu’elle pose et l’ajustement subtil des droits et devoirs réciproques à l’œuvre. En ayant connu cela, vous gagnerez du temps comme vous en ferez gagner à votre franchiseur : vous le solliciterez sur les bons sujets, en évitant de tomber dans la dépendance excessive.
Voilà pourquoi cette dernière qualité est loin d’être négligeable aux yeux d’une enseigne, même si elle ne figurera jamais en tête de ses critères.
Conclusion
Candidat.e.s à la franchise, nous espérons que ces éléments vous permettront de mieux valoriser vos atouts, comme de savoir ce qui peut vous manquer pour faire mouche 😉
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