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Le métier de boulanger exerce un fort attrait autant qu’il impressionne, en raison des qualités et de l’abnégation qu’il demande.

Quelles en sont les contraintes mais aussi les bons côtés ? Et à la fin, qu’est-ce qui l’emporte ?

Est-on logé à la même enseigne selon que l’on exerce seul.e ou au sein d’un réseau ?

Et qu’en est-il lorsqu’on choisit de rejoindre Boulangerie Feuillette ?

Parce qu’il est important d’avoir réponse à ces questions avant de vous lancer, a fortiori auprès d’une enseigne, l’équipe Feuillette vous dit tout !

Bonne lecture.

I/ Les inconvénients du métier de boulanger

Quels sont les inconvénients du métier en général ?

Un bon boulanger n’usurpe jamais sa réputation de gros travailleur. Soumis à une grande amplitude horaire, il se lève tôt et doit souvent sacrifier ses week-ends pour que ses clients puissent déguster ses pains. Et pendant ses journées, il ne chôme pas et reste à la fois concentré, minutieux, organisé et continuellement persévérant.

L’accès au métier est régi par un encadrement professionnel : au minimum un CAP spécialisé, une obligation de conformité (sécurité, qualité des produits, sanitaire, installations techniques, affichage, réglementation des jours d’ouverture…). Et depuis janvier dernier, l’adaptation à la nouvelle législation relative à la suppression des emballages pour la restauration sur place, vient impacter son confort d’exploitation.

 

Homme ou femme-orchestre, le boulanger se doit d’être au four et au moulin, c’est peu de le dire ! Il s’attèle à des tâches très variées, dont certaines sont éloignées des raisons l’ayant dirigé vers ces métiers : les obligations administratives, comptables et de gestion, le management, les outils digitaux ou encore de plus en plus la communication.

Le boulanger consent également un investissement significatif avec un local parfois conséquent, les différents équipements, et un minimum de coûts salariés. Après, c’est aussi en rapport avec le CA généré.

Le secteur subit par ailleurs de plein fouet les variations du coût des matières premières et de l’énergie, les médias en parlent suffisamment. Sans compter que certaines municipalités manquent parfois de souplesse sur l’ouverture des boulangeries le dimanche.

Enfin, la filière rencontre certaines difficultés au plan RH : un manque d’attractivité dans le recrutement, des difficultés à fidéliser – surtout au sein des dernières générations, et des coûts sociaux en hausse constante.

 

Quels sont les inconvénients pour une entreprise d’exercer sous enseigne de franchise ?

Rejoindre une enseigne reconnue écrase ou compense nécessairement certains inconvénients du métier, notamment les conséquences de l’isolement. Mais cela induit aussi de nouvelles obligations, car elle a aussi de vraies exigences vis-à-vis de ses franchisés.

Outre le règlement d’un droit d’entrée et de redevances, ceux-ci doivent en respecter scrupuleusement le concept, les méthodes de travail et d’exploitation. C’est écrit dans leur contrat (généralement de 5 à 7 ans) et l’animateur réseau le vérifie périodiquement. Les boulangers comme les pâtissiers doivent alors avoir une conscience claire de la nature « interdépendante » de la relation de franchise.

Par conséquent, ils devront savoir abandonner un peu de souveraineté, y compris dans la fabrication de leurs produits, dans la perspective de bénéfices futurs qui en vaudront la peine.

Enfin, ils devront être prêts à reporter régulièrement sur leur activité et accepter que leur performance soit suivie par la structure centrale – certes dans leur propre intérêt comme celui du réseau.

 

Y a-t-il des inconvénients particuliers pour les entreprises Feuillette ?

Du fait des performances moyennes du réseau, notre concept réclame un investissement conséquent :

  • Financier: 200 000 € d’apport personnel pour 1 200 000 € d’investissement total ;
  • Immobilier: une localisation premium avec un terrain > 1500 m², pour un bâti > 450 m² ;
  • Humain: une formation longue au sein d’une unité et un engagement intense du franchisé notamment pendant les 6 premiers mois de l’ouverture, comme pour son équipe.

Mais l’investissement se traduit aussi par une forte polyvalence : rigueur, qualités managériales (leadership, capacité à déléguer), obsession de la satisfaction client…

Il faut dire que la réussite rencontrée par les entreprises de notre réseau ne doit rien au hasard. Elle découle d’une vision sans concession de notre fondateur, Jean-François Feuillette, qui veut pouvoir la retrouver dans chaque boutique du réseau, franchisée comme succursale.

II/ Les avantages du métier quand on est boulanger et pâtissier

Quels sont les avantages du métier dans l’absolu ?

Au vu de la tradition française en matière de produits (pains, viennoiseries et pâtisseries), être boulanger est un honneur. On s’inscrit dans une tradition qui fait rayonner notre pays dans le monde entier. D’ailleurs ce n’est pas pour rien que la baguette figure désormais au patrimoine immatériel de l’Unesco. Et il n’est pas étonnant de voir des entreprises françaises de la filière s’enrichir à l’étranger, comme en témoigne cet exemple.

Le métier a une image noble, artisanale – même si des concepts de dépôts de pain et de terminaux de cuisson ont eux aussi fini par se multiplier.

Il a la réputation d’être encore rémunérateur, tant que l’on s’implante bien, que l’on a le sens du commerce, que l’on travaille dur et satisfait sa clientèle : en se débrouillant bien, on se prépare un véritable complément de retraite.

Enfin, c’est un métier d’intérêt public : tout le monde aime et consomme du pain. Et les Français ne sont pas encore prêts à rogner sur leur budget ou à renoncer à quelques douceurs sucrées et autres pâtisseries.

 

Quels sont les avantages lorsqu’on exerce sous enseigne de franchise ?

Rejoindre un réseau de franchise reconnu et établi procure d’indéniables avantages.

La France compte aujourd’hui des franchises présentes parfois sur l’ensemble du territoire. Si l’engouement pour la formule ne se dément pas, c’est parce qu’elle a fait ses preuves dans le secteur et que les boulangers ou les pâtissiers franchisés ont su y trouver leur compte.

Il faut dire que face à l’intensité concurrentielle et aux innovations sans cesse apportées par les acteurs organisés, mais aussi aux nouvelles tendances de consommation, l’appétit et l’exigence des clients s’aiguisent. Seules les organisations étoffées et réparties comme les réseaux peuvent y répondre. Par exemple, ils ont les moyens de financer de la R&D pour élaborer de nouvelles recettes, améliorer leurs procédures de travail ou encore réfléchir à de nouvelles expériences de consommation, notamment pour la tranche horaire cruciale de la pause déjeuner.

Ensuite, seule une organisation en réseau permet d’obtenir des tarifs d’achat compétitifs en jouant l’effet volume, d’optimiser la fabrication et de mutualiser les coûts de support de l’activité (communication, marketing, expérience client, qualité…). Sans compter l’accès à des outils innovants et la digitalisation des pratiques professionnelles.

Par effet cliquet, l’avantage concurrentiel procuré à l’entreprise en réseau deviendra de moins en moins imitable ou substituable.

 

Et quels avantages particuliers rejoindre Feuillette vous apporte-t-il ?

  • L’adossement à un solide groupe familial

Boulangerie Feuillette, c’est plus de 1 000 personnes réalisant un CA > 70 M€, pour 125 salariés. Avec notre expérience dans la gestion de 22 boulangeries en succursales depuis 2009, nous sommes le seul acteur multisegments à ce niveau de rapport qualité-prix.

  • Un concept éprouvé et à part sur le marché

Les boulangers Feuillette réalisent un niveau de CA et un ticket moyen nettement supérieur à la concurrence. La répartition de ses ventes et ses niveaux de marge autorisent une rentabilité remarquable. De plus, l’enseigne a investi dans des éléments d’ambiance distinctifs et la centralisation d’une partie de la production en pâtisserie. De quoi mettre pleinement à profit la tranche la plus lucrative de la journée (11 :30 – 14 :30) grâce à un positionnement volontariste sur le snacking.

Enfin, nos partenaires accèdent à un écosystème local et national de fournisseurs pour la plupart de nos corps de métier (concept, aménagement, équipements…).

  • Un savoir-faire unique

Un franchisé Feuillette maîtrise parfaitement 4 corps de métiers (vente, boulangerie – viennoiseries, pâtisserie et traiteur), dans des méthodes de travail et une rigueur reconnus. Il sait gérer une masse salariale moyenne de 20 à 40 salariés, il bénéficie d’un sourcing exclusif et pointilleux de fournisseurs fidèles et accède à une digitalisation raisonnée (bornes, click & collect, carte de fidélisation numérique…).

  • Une formation et une intégration durables

Pour une autonomie rapide, chaque franchisé suit une formation immersive de 3 mois en boutique, avant d’être accompagné lors du lancement de sa boulangerie. Nous formons ses équipes et participons activement à son ouverture. Par ailleurs, une plateforme digitale permet à tout collaborateur de son entreprise d’accéder au manuel opératoire Feuillette. Enfin, des visites régulières seront ensuite organisées pour veiller au bon développement de sa franchise.

Convaincu.e.s de l’intérêt de rejoindre le métier ?

Envie de savoir comment Boulangerie Feuillette permet de le faire dans des conditions inégalées ?

Contactez-nous !

Conclusion

Candidat.e à la franchise, nous espérons vous avoir éclairé.e pour vous donner envie de rejoindre, en toute connaissance de cause, le merveilleux métier de la boulangerie et qui sait peut-être notre réseau 😊