SOMMAIRE

1/ Chapeau bas à la puissance marketing des chaînes anglo-saxonnes
2/ Boulangerie Feuillette, une alternative de marché 100% made in France
3/ Tout compte fait, il n’y a (vraiment) plus lieu d’hésiter !
Conclusion

Derrière ce titre provocateur, il y a une réalité de marché. Des candidats à la franchise, le « haut du panier » en termes de moyens financiers dirons-nous, sont alléchés par la notoriété de certaines marques et surtout les leviers de rentabilité affichés par leurs concepts.

C’est notamment le cas des majors de la restauration rapide, dont ni la crise sanitaire ni ChatGPT 😉n’ont encore eu raison ! Voyez le délai d’attente pour pouvoir ouvrir un restaurant McDonald’s (presque aussi long que pour obtenir une rolex Daytona chez votre revendeur agréé…  ). Et chez Burger King, les candidats se pressent également au portillon.

Il est logique qu’à partir de certaines enveloppes, les franchisés très contributifs aient le choix du roi. Mais pourquoi diable s’orientent-ils toujours un peu vers les mêmes enseignes. Cèdent-ils trop à la facilité alors que certains auraient même les moyens d’envisager la master franchise ?

Retour sur un phénomène qui démontre, entre autres, la toute-puissance du marketing et auquel, loin de tout fatalisme, Boulangerie Feuillette entend proposer une vraie alternative 😊

Bonne lecture,

1/ Chapeau bas à la puissance marketing des chaînes anglo-saxonnes

Loin de nous l’idée de faire un procès d’intention aux enseignes de fast-food, qu’elles soient anglo-saxonnes ou autres. Si elles existent c’est qu’elles ont su trouver leur place et que des millions de consommateurs sont heureux de les trouver quotidiennement s’y sustenter. Et c’est tant mieux, dès lors qu’elles respectent les règles d’hygiène et de concurrence.

Depuis de nombreuses années, ces chaînes ont su s’implanter grâce à leur effort méthodique et patient, et sous l’effet combiné de différents facteurs :

  • La massification et l’homogénéisation des modes de consommation, notamment chez les jeunes, qui fait la part belle à des formats de taille critique (en surface, en nombre de places assises, en efficacité logistique…) ;
  • Les moyens publicitaires sans commune mesure d’enseignes ayant déjà rentabilisé leur modèle sur un marché domestique de taille continentale (les USA) avant de débarquer en France ;
  • La prégnance culturelle extrêmement forte quand ce n’est pas la fascination, aujourd’hui encore, de tout ce qui vient d’Outre-Atlantique, quand bien même il existe de nombreuses alternatives en restauration à thème ;
  • Le besoin d’aller vite pour se nourrir, notamment le midi, mais aussi une certaine « ludification » dans la prise des repas. Rappelons que McDo avait créé son fameux Ronald après avoir compris que les enfants étaient les vrais prescripteurs de leur produits au sein de la famille ;
  • Le sentiment de ringardisation (au pire) ou d’inadéquation (au mieux) du bien-manger à la française au regard de ces tendances… nous y reviendrons ;
  • Enfin, la courbe d’expérience. Pensez donc, les grandes chaînes de burgers, pour ne citer qu’elles, ont investi l’hexagone il y a des décennies : McDo a posé ses valises à Strasbourg en 1979 et Burger King l’année suivante sur les Champs-Elysées. Même si toutes deux en sont parties pour mieux revenir ensuite, fort de précieux enseignements sur notre marché.

Au-delà de ces exemples centrés sur le Burger, nous aurions aussi pu citer Subway, Pizza Hut ou Starbucks. Dans tous les cas, la puissance de feu de ces enseignes a créé une empreinte mémorielle et expérientielle chez les consommateurs aujourd’hui difficile à imiter et remplacer.

Mais c’était compter sans un certain changement dans les goûts des consommateurs eux-mêmes ! Certes ils n’ont pas délaissé en masse les chaînes de burgers mais sous l’impulsion des générations Y et Z, ils se sont ouverts à une offre de restauration rapide ou thématique qui a su les comprendre, s’adapter à leurs nouvelles contraintes et aspirations (exotisme, qualité, bio voire végan…). Au prix de tickets moyens parfois supérieurs !

2/ Boulangerie Feuillette, une alternative de marché 100% made in France

Des constats marqués pour proposer un nouveau modèle

En créant Boulangerie Feuillette, notre fondateur avait déjà acquis des convictions fortes sur le fait que les boulangeries n’avaient pas su prendre sur le marché un espace qui leur revenait pourtant de droit. Il avait saisi :

  • Que le snacking, notamment salé, était une clé,
  • Qu’il offrait un potentiel de chiffre d’affaires très conséquent,
  • Mais que les acteurs en place n’étaient pas armés pour en profiter ;

Bien sûr des chaînes françaises de sandwicherie, de salad bar etc. se sont constituées au fil du temps. Mais les boulangers n’ont pas assez cru en leurs chances. Au-delà d’être une profession atomisée, ils n’ont pas suffisamment investi dans l’offre produit mais surtout l’expérience client.

En ayant été formé dans des palaces de la capitale et auprès de professionnels reconnus, Jean-François Feuillette était aux premières loges pour constater que, recevoir des clients sur des chaises en plastique et sur un coin de table détruisait en réalité beaucoup de valeur.

Ces constats, il en fera une force pour proposer une alternative (et non forcément un standard) : on peut venir déjeuner pour déguster une gamme étoffés de produits très qualitatifs, dans un cadre léché, qui propose une expérience qualitative et vous laissera un souvenir enthousiasmant. C’est même un droit ! En appliquant ce modèle, des boulangeries-pâtisseries seront en mesure de produire des chiffres dignes des majors de la restauration rapide !

Rappel : quels sont les chiffres-clés de la boulangerie-pâtisserie ?

Le bien-manger à la française est compatible avec l’accélération de nos modes de vie

L’alternative proposée par Boulangerie Feuillette s’appuie sur des parti-pris d’offre et de production qui n’étaient pourtant pas intuitifs à l’époque :

  • La centralisation d’une partie de la production en pâtisserie : un choix qui peut surprendre mais qui démontre sa pertinence à partir du moment où la qualité et la logistique sont au RDV ;
  • La largeur de gamme : il était audacieux d’aller aussi loin dans l’offre snacking, en proposant une véritable offre traiteur (salades, sandwichs, wraps, quiches, mais aussi fougasses, plats chauds, burgers et autres plateaux salés) dans ce niveau de qualité ;
  • De vraies recettes de chef : nous testons et proposons, en collaboration avec de grands chefs comme Angelo Musa, des recettes originales et très élaborées ;
  • Enfin, un sourcing de haute qualité et territorialement ancré : si la plupart des enseignes en ont compris l’intérêt, ce choix vient aussi renchérir les coûts de production, donc le prix de vente.

Découvrez toute notre carte en un clin d’œil

Le tout était de parvenir à créer un cadre pouvant proposer tout cela.

Pourtant, nos chiffres démontrent que le modèle Feuillette a su trouver sa place. Sinon comment expliquer l’ouverture de plus de 50 boulangeries-pâtisseries en moins de 15 ans, dont certaines dépassent les 2.5 M€ de chiffre d’affaires, et un ticket moyen aussi élevé alors que le pouvoir d’achat est un sujet récurent pour les Français ?

Vous souhaitez en savoir plus sur notre modèle ?  Contactez-nous !

3/ Tout compte fait, il n’y a (vraiment) plus lieu d’hésiter !

Nous espérons que ces éléments rencontreront votre attention.

Alors au cas où vous disposeriez d’une enveloppe conséquente (30 000 € de droit d’entrée, 200 000 € d’apport personnel et 1 200 000 € d’investissement global), seriez-vous prêt.e.s à la consacrer à un concept 100% made in France aux capacités d’accompagnement étendues ?

Préférez-vous consacrer ces fonds à des modèles s’adressant à une clientèle de masse, ou préférez-vous faire honneur à nos traditions, à nos territoires et à notre gastronomie en régalant un public de gourmands ?

A performance opérationnelle et financière comparable, préférez-vous investir dans un concept inspiré d’une histoire familiale authentique (celle de notre fondateur), ou bien miser sur un concept aseptisé ?

Voulez-vous offrir une expérience de restauration se limitant à un triptyque « quantité-prix-vitesse », ou préférez-vous offrir un cadre où venir déguster des produits de tradition ne prend finalement pas beaucoup plus de temps… ?

Enfin, préférez-vous miser sur un créateur visionnaire qui soutient le bien-manger à la française, et qui a récemment redonné vie à Frédélian – un concept fameux du Cap-Ferret – dans l’optique de le développer, ou vous contentez-vous de vous associer à des chaînes certes puissantes mais où vous ne serez qu’un numéro ?

Et nous pourrions poursuivre …

Boulangerie Feuillette n’a pas pour souci de planter un maximum de drapeaux dans l’hexagone. Nous refusons d’ailleurs chaque année un nombre très conséquent de candidatures. En revanche, ce qui nous amine, c’est de trouver celles et ceux qui, disposant des capacités financières et managériales en accord avec notre concept, ont tout pour s’épanouir à nos côtés !

Vous partagez notre vision et êtes interpellé.e.s par notre concept ?  Prenons RDV !

Conclusion

Candidat.e.s à la franchise qui disposez d’un montant conséquent à investir et partagez nos valeurs, nous espérons que notre propos trouvera un écho chez vous.

Nous souhaitons qu’avant d’opter pour une enseigne de restauration rapide comme il y en a tant, vous considérerez Boulangerie Feuillette comme un choix de cœur et de raison 😊